L a chanson au service des apprentissages
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Qu'il soit n démon, qu'il soit noir ou blanc
Il a le cœur pur, il est toute innocence
Qu'il soit né d'amour, ou par accident
Malheur à celui qui blesse un enfant
La la la la la la la la la la la la
Il est émigré d'un pays de misère
Et dans une école il apprend à parler
Son accent fait rire, il ne peut rien faire
Sans qu'on lui reproche d'être un étranger
Refrain
Qu'il soit un démon, qu'il soit noir ou blanc
Il a le cœur pur, il est toute innocence
Qu'il soit né d'amour, ou par accident
Malheur à celui qui blesse un enfant
Qu'il soit un démon, qu'il soit noir ou blanc
Il a le cœur pur, il est toute innocence
Qu'il soit né d'amour, ou par accident
Malheur à celui qui blesse un enfant
Il n'a pas de père, et il n'a pas de mère
C'est le plus frondeur de tout l'orphelinat
On cite en exemple son sale caractère
Et on le punit car on ne l'aime pas
Refrain
Qu'il soit un démon, qu'il soit noir ou blanc
Il a le cœur pur, il est toute innocence
Qu'il soit né d'amour, ou par accident
Malheur à celui qui blesse un enfant
La la la la la la la la la la la
Il vole au marché, un gâteau, une orange
Et on le poursuit, il faut le rattraper
On donne l'alerte, on arrête un ange
Et pour se défendre il se met à pleurer
Refrain
Qu'il soit un démon, qu'il soit noir ou blanc
Il a le cœur pur, il est toute innocence
Qu'il soit né d'amour, ou par accident
Malheur à celui qui blesse un enfant
Enrico Macias
Paroles Enfants De Tous Pays
Tendez vos mains meurtries
Semez l'amour
Et puis donnez la vie
Enfants de tout pays
Et de toutes couleurs
Vous avez dans le coeur
Notre bonheur
C'est dans vos mains
Que demain
Notre terre
Sera confiée
Pour sortir de la nuit
Et notre espoir
De revoir la lumière
Est dans vos yeux
Qui s'éveillent à la vie
Séchez vos larmes
Jetez vos armes
Faites du monde
Un paradis
Enfants de tous pays
Tendez vos mains meurtries
Semez l'amour
Et puis donnez la vie
Enfants de tout pays
Et de toutes couleurs
Vous avez dans le coeur
Notre bonheur
Il faut penser
Au passé
De nos pères
Et aux promesses
Qu'ils n'ont jamais tenues
La vérité
C'est d'aimer
Sans frontières
Et de donner
Chaque jour un peu plus
Car la sagesse
Et la richesse
N'ont qu'une adresse
Le paradis
Enfants de tous pays
Tendez vos mains meurtries
Semez l'amour
Et puis donnez la vie
Enfants de tout pays
Et de toutes couleurs
Vous avez dans le coeur
Notre bonheur
Et puis le jour
Où l'amour
Sur la terre
Deviendra roi
Vous pourrez vous reposer
Lorsque la joie
Couvrira
Nos prières
Vous aurez droit
A votre éternité
Et tous les rires
De votre empire
Feront du monde
Un paradis
Enfants de tous pays
Tendez vos mains meurtries
Semez l'amour
Et puis donnez la vie
Enfants de tout pays
Et de toutes couleurs
Vous avez dans le coeur
Notre bonheur
À la claire fontaine
M'en allant promener
J'ai trouvé l'eau si belle
Que je m'y suis baigné
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai !
Sous les feuilles d'un chêne
Je me suis fait sécher
Sur la plus haute branche
Un rossignol chantait
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai !
Chante, rossignol, chante
Toi qui a le coeur gai
Tu as le coeur à rire
Moi, je l'ai à pleurer
M'en allant promener
J'ai trouvé l'eau si belle
Que je m'y suis baigné
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai !
Sous les feuilles d'un chêne
Je me suis fait sécher
Sur la plus haute branche
Un rossignol chantait
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai !
Chante, rossignol, chante
Toi qui a le coeur gai
Tu as le coeur à rire
Moi, je l'ai à pleurer
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai !
J'ai perdu mon amie
Sans l'avoir mérité
Pour un bouquet de roses
Que je lui refusai
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai !
Je voudrais que la rose
Fut encore au rosier
Et que ma douce amie
Fut encore à m'aimer.
Il y a longtemps que je t'aime
Jamais je ne t'oublierai !
Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer, au loin, les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la terre
Vois comme le monde, le monde est beau
Qui voit passer, au loin, les oiseaux
Comme l'oiseau bleu survolant la terre
Vois comme le monde, le monde est beau
Beau, le bateau dansant sur les vagues
Ivre de vie, d'amour et de ventAbandonnée au sable blanc
Ivre de vie, d'amour et de ventAbandonnée au sable blanc
Blanc, l'innocent, le sang du poète
Qui, en chantant, invente l'amour
Pour que la vie s'habille de fête
Et que la nuit se change en jour
Qui, en chantant, invente l'amour
Pour que la vie s'habille de fête
Et que la nuit se change en jour
Jour d'une vie où l'aube se lève
Pour réveiller la ville aux yeux lourds
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un monde amour
Pour réveiller la ville aux yeux lourds
Où les matins effeuillent les rêves
Pour nous donner un monde amour
L'amour c'est toi, l'amour c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
Moi je ne suis qu'une fille de l'ombre
Qui voit briller l'étoile du soirToi mon étoile, qui tisse ma ronde
Viens allumer mon soleil noir
Qui voit briller l'étoile du soirToi mon étoile, qui tisse ma ronde
Viens allumer mon soleil noir
Noire la misère les hommes et la guerre
Qui croient tenir les rênes du tempsPays d'amour n'a pas de frontière
Pour ceux qui ont un coeur d'enfant
Qui croient tenir les rênes du tempsPays d'amour n'a pas de frontière
Pour ceux qui ont un coeur d'enfant
Comme un enfant aux yeux de lumière
Qui voit passer au loin les oiseauxComme l'oiseau bleu survolant la terre
Nous trouverons ce monde amour,
Qui voit passer au loin les oiseauxComme l'oiseau bleu survolant la terre
Nous trouverons ce monde amour,
L'amour c'est toi, l'amour c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi
Marie Myriam
Paroles Le Déserteur
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps
Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir
Monsieur le Président
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens
C'est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
Je m'en vais déserter
Depuis que je suis né
J'ai vu mourir mon père
J'ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants
Ma mère a tant souffert
Elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers
Quand j'étais prisonnier
On m'a volé ma femme
On m'a volé mon âme
Et tout mon cher passé
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J'irai sur les chemins
Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens:
Refusez d'obéir
Refusez de la faire
N'allez pas à la guerre
Refusez de partir
S'il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le Président
Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'armes
Et qu'ils pourront tirer
La Terre Meurt
Les océans sont des poubelles
Les fonds de terre sont souillés
Les Tchernobyl en ribambelles
Voient naitre des fœtus mort-nés
Dans cinquante ans, qu’allons nous faire
De ces millions de détritus
Et ces déchets du nucléaire
Dont les pays ne veulent plus?
Les fonds de terre sont souillés
Les Tchernobyl en ribambelles
Voient naitre des fœtus mort-nés
Dans cinquante ans, qu’allons nous faire
De ces millions de détritus
Et ces déchets du nucléaire
Dont les pays ne veulent plus?
Sous nos pieds la terre promise,
Patrimoine de nos enfants,
Petit à petit agonise
Et je m’en soucie
Et pourtant les espèces devenues rares
Sont en voie de disparition
Et la laideur chante victoire
Sous le plastique et le béton.
Patrimoine de nos enfants,
Petit à petit agonise
Et je m’en soucie
Et pourtant les espèces devenues rares
Sont en voie de disparition
Et la laideur chante victoire
Sous le plastique et le béton.
{Refrain:}
La Terre meurt
L’homme s’en fout
Il vit sa vie
Un point, c’est tout.
Il met à son gré, à son goût,
Le monde sens dessus dessous
La Terre meurt
Où allons-nous? Dans la finance et les affaires,
Le pétrole est le maître mot
Il mène à tout
Même à la guerre
Et nul ne s’inquiète de l’eau
Où en sont la flore et la faune?
Et qu’advient-il du firmament
Privé de la couche d’ozone
Gardien de l’environnement?
La Terre meurt
L’homme s’en fout
Il vit sa vie
Un point, c’est tout.
Il met à son gré, à son goût,
Le monde sens dessus dessous
La Terre meurt
Où allons-nous? Dans la finance et les affaires,
Le pétrole est le maître mot
Il mène à tout
Même à la guerre
Et nul ne s’inquiète de l’eau
Où en sont la flore et la faune?
Et qu’advient-il du firmament
Privé de la couche d’ozone
Gardien de l’environnement?
Sous le ciel, le sol se révolte
Car l’homme trompe la nature
Quand il trafique les récoltes
Il hypothèque son futur.
Sous le soleil, les forêts brûlent
Et l’on gave les champs d’engrais
Dans la boulimie majuscule
Du rendement et du progrès {au Refrain}
Car l’homme trompe la nature
Quand il trafique les récoltes
Il hypothèque son futur.
Sous le soleil, les forêts brûlent
Et l’on gave les champs d’engrais
Dans la boulimie majuscule
Du rendement et du progrès {au Refrain}
Il est temps de prendre conscience
Que l’homme ne respecte rien
Il se fiche de l’existence
Des baleines et des dauphins
L’éléphant meurt pour son ivoire
La bête rare pour sa peau
Et dans les grandes marées noires
Le mazout englue les oiseaux La société consommatrice
Avance impunément ses pions
Tandis que les arbres pourrissent
Dans les villes et leurs environs
La sécheresse se déchaîne
Effaçant tout signe de vie
Et certaines races humaines
Crèvent d’abandon et d’oubli
Que l’homme ne respecte rien
Il se fiche de l’existence
Des baleines et des dauphins
L’éléphant meurt pour son ivoire
La bête rare pour sa peau
Et dans les grandes marées noires
Le mazout englue les oiseaux La société consommatrice
Avance impunément ses pions
Tandis que les arbres pourrissent
Dans les villes et leurs environs
La sécheresse se déchaîne
Effaçant tout signe de vie
Et certaines races humaines
Crèvent d’abandon et d’oubli
{au Refrain} La Terre meurt
Réveillons-nous!
Réveillons-nous!
Charles Aznavour
Sur Terre, il y a la vie
Paroles Adieu Monsieur Le Professeur
Les enfants font une farandole
Et le vieux maître est tout ému:
Demain, il va quitter sa chère école.
Sur cette estrade, il ne montera plus.
(Refrain):
Adieu, monsieur le professeur.
On ne vous oublira jamais
Et tout au fond de notre coeur,
Ces mots sont écrits à la craie.
Nous vous offrons ces quelques fleurs
Pour dire combien on vous aimait.
On ne vous oublira jamais.
Adieu, monsieur le professeur.
Une larme est tombée sur sa main.
Seul, dans la classe, il s'est assis.
Il en a vu défiler, des gamins
Qu'il a aimés tout au long de sa vie.
(Refrain)
De beaux prix sont remis aux élèves.
Tous les discours sont terminés.
Sous le préau, l'assitance se lève.
Une dernière fois les enfants vont chanter
L'environnement
Sur Terre, il y a la vie
Celle des hommes mais aussi
Il y a celle des animaux
Et celle des végétaux
C’est la Terre qui libère
Les ressources nécessaires
Pour respirer, manger,
Grandir et exister…
Pensons à notre planète
Si fragile sous les tempêtes
Agissons tous maintenant
Respectons l’environnement !
Du respect, du respect, du respect…
… Pour l’environnement !
Sur Terre, les hommes construisent
Des villes, des industries
Mais parfois ils oublient
De protéger la vie
De simples actions peuvent faire
Eviter de polluer
Ou même de gaspiller…
Pensons à notre planète
Si fragile sous les tempêtes
Agissons tous maintenant
Respectons l’environnement !
Du respect, du respect, du respect…
… Pour l’environnement !
Pour l’environnement…
J’éteins la lumière
Pour l’environnement…
Je baisse le chauffage
Pour l’environnement…
Je prends une douche
Et pas un bain
Pour l’environnement…
Je trie les déchets
Pour l’environnement…
Je ne gaspille pas le papier
Pour l’environnement…
Je me déplace à pied
Ou en vélo
Pour l’environnement !
http://www.chansonsfutees.com/chanson-educative-comptine-l-environnement-mp3-10-0.html
Adieu Monsieur Le Professeur
Et le vieux maître est tout ému:
Demain, il va quitter sa chère école.
Sur cette estrade, il ne montera plus.
(Refrain):
Adieu, monsieur le professeur.
On ne vous oublira jamais
Et tout au fond de notre coeur,
Ces mots sont écrits à la craie.
Nous vous offrons ces quelques fleurs
Pour dire combien on vous aimait.
On ne vous oublira jamais.
Adieu, monsieur le professeur.
Une larme est tombée sur sa main.
Seul, dans la classe, il s'est assis.
Il en a vu défiler, des gamins
Qu'il a aimés tout au long de sa vie.
(Refrain)
De beaux prix sont remis aux élèves.
Tous les discours sont terminés.
Sous le préau, l'assitance se lève.
Une dernière fois les enfants vont chanter
Mots d'enfant légers
comme plume d'oiseaux
mots d'enfants limpides
comme source sous le cresson sauvage
mots d'enfants brillants
comme hautes herbes revêtues de rosée
mots d'enfants rouges
comme jus de cerise sur les joues
mots d'enfants frisés
comme lit de laine douce
mots d'enfant fabuleux
comme étoile sur champ de nuit
de tous ces mots d'enfant
oiseaux ,source,herbe,
cerises,source,étoiles
j'ai fait mes gerbes ,mes fagots
pour le grenier d'un vieil enfant.
Joseph-Paul Schneider
De très belles chansons que vous pouvez écouter
http://www.iletaitunehistoire.com/genres/comptines-chansons/lire/ah-les-crocodiles-biblidcha_018
20 Mars Journée internationale de la Francophonie
âme /autrement / caractère / chez / confier /
histoire / naturel / penchant / songe / transports
histoire / naturel / penchant / songe / transports
Journée internationale du conte
l'arrivée du printemps. L'hiver cède sa place aux températures douces,
aux journées ensoleillées et à la splendeur de la nature .
Il était un petit navire
Il était un petit navire
Il était un petit navire
Qui n'avait ja, ja, jamais navigué
Qui n'avait ja, ja, jamais navigué
Ohé, ohé...
Ohé, ohé Matelot
Matelot navigue sur les flots
Ohé, ohé Matelot
Matelot navigue sur les flots
Il entreprit un long voyage
Il entreprit un long voyage
Sur la mer mé, mé, Méditérannée
Sur la mer mé, mé, Méditérannée
Ohé, ohé...
Ohé, ohé Matelot
Matelot navigue sur les flots
Ohé, ohé MatelotMatelot navigue sur les flots
Au bout de cinq à six semaines
Au bout de cinq à six semaines
Les vivres vin, vin, vinrent à manquer
Les vivres vin, vin, vinrent à manquer
Ohé, ohé... On tira z'à la courte paille
On tira z'à la courte paille
Pour savoir qui, qui, qui serait mangé
Pour savoir qui, qui, qui serait mangé
Ohé, ohé...
Le sort tomba sur le plus jeune
Le sort tomba sur le plus jeune
Bien qu'il ne fut, fut, fut pas très épais
Bien qu'il ne fut, fut, fut pas très épais
Ohé, ohé...
On cherche alors à quelle sauce
On cherche alors à quelle sauce
Le pauvre enfant se, se, serait mangé
Le pauvre enfant se, se, serait mangé
Ohé, ohé...
L'un voulait qu'on le mit à frire
L'un voulait qu'on le mit à frire
L'autre voulait le, le fricasser
L'autre voulait le, le fricasser
Ohé, ohé...
Pendant qu'ainsi on délibère
Pendant qu'ainsi on délibère
Il monta sur, sur, sur, le grand hunier
Il monta sur, sur, sur, le grand hunier
Ohé, ohé...
Ohé, ohé Matelot
Matelot navigue sur les flots
Ohé, ohé MatelotMatelot navigue sur les flots
Il fit au ciel une prière
Il fit au ciel une prière
Interrogeant, geant, geant l'immensité
Interrogeant, geant, geant l'immensité
Ohé, ohé...
Ohé, ohé Matelot
Matelot navigue sur les flots
Ohé, ohé Matelot
Matelot navigue sur les flots
O sainte Vierge, ô ma patronne
O sainte Vierge, ô ma patronne
Empêchez-les, les, les de me manger
Empêchez-les, les, les de me manger
Ohé, ohé...
Au même instant un grand miracle
Au même instant un grand miracle
Pour l'enfant fut, fut, fut réalisé
Pour l'enfant fut, fut, fut réalisé
Ohé, ohé...
Des p'tits poissons dans le navire
Des p'tits poissons dans le navire
Sautèrent bientôt, tôt, tôt par milliers
Sautèrent bientôt, tôt, tôt par milliers
Ohé, ohé...
On les prit on les mit à frire
On les prit on les mit à frire
Et le p'tit mousse, mousse, mousse fut sauvé
Et le p'tit mousse, mousse, mousse fut sauvé
Ohé, ohé...