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Soutien pédagogique /révision 3ème Année

           
    
               3ème Année Collégiale
                  Semestre 2                      

Les conjonctions de coordination.

Mais, ou, et, donc, or, ni, car


A ) LIEN SIMPLE


Constructions symétriques
Affirmative
et
et...et.../ d'une part..., d'autre part.../
Négative
ni
ni...:ni.../ d'une part ,...ne...pas..., d'autre part,...ne...pas.../
Alternative
ou
ou...ou.../ soit...,soit...tantôt..., tantôt.../

                                                    

Les conjonctions de coordination servent à relier 
deux mots ou deux phrases entre elles.



On peut remplacer une conjonction de coordination par une autre conjonction de coordination mais alors on change le sens de la phrase !
  • et indique qu'on ajoute une information
  • ou indique que l'on doit faire un choix
  • mais indique une restriction
  • car annonce une explication/cause
  • donc annonce une conséquence
  • or indique une opposition
  • ni s'utilise pour indiquer deux négations qui se suivent

   Exemples 

Le frère et la sœur sont en colonie de vacances.

Ils sont heureux mais leurs parents leur manquent.

Les moniteurs sont gentils car ils les consolent.

Ils leur demandent s'ils préfèrent rester au camp ou venir en promenade.

Ils ne veulent ni l'un ni l'autre.

Les moniteurs les laissent donc choisir ce qu'ils désirent faire.

Ils voulaient crier or malgré leurs bouches grandes ouvertes aucun son ne sortait.

          faire un exerciceecole 128



Les propositions subordonnées 


circonstancielles introduites par si:

  Si + présent ou passé composé

La condition est tout à fait réalisable. Le verbe de la principale est à l'indicatif.
Exemple: Si vous tournez à gauche, vous apercevrez l'hôtel de ville.


 
 Si + imparfait La condition n'est pas impossible à réaliser dans un avenir proche: c'est le potentiel.

Exemple: Si je gagnais le tournoi de tennis, mon père m'offrirait une raquette neuve.


 La condition est irréalisable: c'est l'irréel du présent.
Exemple: Si j'étais le champion du monde, je vivrais aux Etats-Unis.
Dans les deux cas, le verbe de la principale est au conditionnel présent.


 
 Si + plus-que-parfait

La condition ne s'est pas réalisée: c'est l'irréel du passé
. Le verbe de la principale est au conditionnel passé.


Exemple: Si la banque nous avait accordé un prêt, nous aurions pu changer d'appartement.



. Les autres propositions subordonnées circonstancielles:

Elles sont introduites par d'autres conjonctions (ou locutions conjonctives) de subordination que si.
  Le verbe est à l'indicatif, si la subordonnée de condition est introduite par suivant que...

Exemple: Selon qu'il trouvera ou non du travail, il cherchera un appartement.

  Le verbe est au conditionnel, si la subordonnée de condition est introduite par au cas où...

Exemple: Au cas où il téléphonerait, demande-lui de rappeler.

  Le verbe est au subjonctif, si la subordonnée de condition est introduite par que, pourvu que...

Exemple: Il dînera avec nous, à moins qu'il (ne) soit retardé.


Exprimer une opération logique

La concession dans le raisonnement


     Parcours: p:150

Support: texte extrait de "la légende de l'homme à la cervelle d'or"Alphonse Daudet

Je retiens :
Dans un raisonnement, faire une concession signifie accepter l’idée, le point de vue généralement admis ou celui de l’adversaire dans une certaine mesure. Réfuter signifie s’opposer à cette idée.


Niveaux de langue
Les moyens pour concéder
Les moyens pour réfuter

Langue courante

Oui, ce que vous dites est intéressant,
Oui, cela n’est pas faux
C’est vrai / bien sûr,

Cela paraît possible,
Vous avez (tu as) raison de dire

Mais……………
Cependant / pourtant / ….
Mais il faut tout de même remarquer que…
Mais comment se fait-il… ?
Mais si on réfléchit un peu, on est forcé de faire remarquer que…


Langue soutenue

S’il est vrai que…
Si l’on peut panser que…
Certes, votre point de vue ne manque pas d’intérêt
Assurément,
Il n’en reste pas ....que…
Il n’empêche que….

Pourtant, force est de constater que…
Cependant, je regrette de devoir vous dire que…

Langue familière

Bien sûr / oui

Tout ça est bien beau,
Alors là, tu m’excuseras,

Mais… / tu ne vois pas que…

Tout de même
Je m’exerce :
       Réfute les points de vue suivants après avoir fait une concession :
   
     a- Les collégiens d’aujourd’hui travaillent moins que ceux d’autrefois.
     b- La publicité n’a aucune influence sur les jeunes enfants.
     c- La vie dans les grandes villes ne procure que des avantages.
     d- Les adolescents d’aujourd’hui sont moins responsables que ceux d’autrefois




Les propositions subordonnées



 circonstancielles
 

jaunetemps: quand, lorsque, comme, dès que, pendant que, tandis que, au moment où, avant que, jusqu'à ce que, depuis que...
jaune     -cause: parce que, puisque, comme, vu que, du moment que, étant donné que...
jaune        -conséquence: si...que, tellement...que, tant...que, de sorte que, si bien que, trop...pour, assez...pour...
jaune            -but: pour que, afin que, de peur que, de crainte que, dans l'espoir que...
jaune -comparaison: comme, ainsi que, de même que, aussi que, plus...que, mieux...que,      moins...que...


                Exercice d'application


http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-12340.php




La condition par SI



1-Si j'ai de l'argent j'aiderai les démunis .   a-J'aiderai les démunis si j'ai de l'argent.

      2-Si j'avais de l'argent j'aiderais les démunis. b-J'aiderais les démunis si j'avais de l'argent.
      3-Si j'avais eu de l'argent j'aurais aidé les démunis .c-J'aurais aidé les démunis si j'avais eu de  l'argent



Pour exprimer une idée de condition ou d'hypothèse,il faut, et selon le contexte, respecter les règles des temps suivantes:

 *Si + présent +futur. (ph.1-a)
Exemple:   - Si j'ai le temps, je travaillerai dans le social .

*Si + imparfait +conditionnel présent . (ph.2-b)
Exemple:  -Si les citoyens étaient solidaires,personne ne serait dans le besoin .

*Si + plus que parfait+Conditionnel passé .(ph.3-c)
Exemple:  -Si l'homme avait été conscient,il n'aurait pas pollué la terre .
-N.B: -On peut changer l'ordre de la phrase de condition et le sens reste le même.(voir tableau).
-Exemple:
       -Si vous venez au Maroc,je vous ferai visiter les médinas.
       -Je vous ferai visiter les médinas si vous venez au Maroc .
-Remarques:   -On peut aussi exprimer la condition  avec:
   *Si + présent + présent.     -Si vous voulez ,je vous accompagne .


  *Si + présent + impératif .  -Si tu m'aimes ,écris-moi un poème!
-Attention:   -La virgule est obligatoire lorsque le ' si ' est mis au début de
phrase et s'efface au milieu de la phrase .

-Conclusion:   -Pour exprimer une idée de condition ou d'hypothèse,il est nécessaire de respecter l'emploi des temps suivants:

 *Si+ présent + futur.
 si + imparfait + conditionnel présent.
   *Si + plus-que -parfait + conditionnel passé .

Exercice d'application :  Mettez les verbes entre parenthèses


aux temps qui conviennent.  

         http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-28092.php








Inclusion       Exclusion




Le terme « ou » (une conjonction de coordination) peutêtre :
  1. INCLUSIF, s'il peut être remplacé par « et »;
  2. EXCLUSIF, s'il peut être remplacé par « oubien » ;
  3. ÉQUIVALENT, s'il signifie « c'està dire ».




Elle ne sait plus quoi faire : garder l'enfant ou l'amener à l'orphelinat.  exclusif
2. Le VIH, ou virus du sida, est à l'origine d'une maladie mortelle. équivalent
3. Les Indiens, ou Premiers Habitants de l'Amérique, étaient aussi dénommés péjorativement « Peaux-Rouges ». 
équivalent4. Les bananes, l'ananas ou le kiwi sont des fruits exotiques. inclusif
5. Le xénon, le néon ou le radon sont des gaz. inclusif
6. Ce film passera à la télévision ou au cinéma. inclusif 7. Tais-toi ou je te mets à la porte ! exclusif
8. La mère adoptive de Rémi ou « mère Barberin » était une femme très gentille. équivalent 
9. La mandarine, les oranges ou les clémentines sont des agrumes.  inclusif
10. Tu peux dormir ou regarder un film à la télévision. exclusif 




     Champ lexical


I Champ lexical
                   Voici une série de mots:
                   Périr-mort--mourir-disparition-assassiner-
                      funérailles- -triste.

A quel thème se rapporte ces termes?

→ Ces termes se rapportent au champ lexical de la mort.


fleche droite changement de couleur          Je retiens
Le champ lexical est l'ensemble des mots se rapportant au
même thème. Ces mots peuvent être de classes
grammaticales différentes (noms, verbes, adjectifs...)
L'étude des champs lexicaux permet de repérer les thèmes
contenus dans le texte, mais aussi de comprendre les
impressions (les sentiments) qui s'en dégagent.


Un mot a souvent plusieurs sens. On dit qu'il est polysémique.
L'ensemble des sens d'un mot forme son champ sémantique.
Certains mots n'ont qu'un seul sens (théière, sur, Chine...).
D'autres mots sont p
olysémiques ; leur champ sémantique est étendu.
Ex. : les sens du mot « souris »
Sens 1 : Le chat de la ferme fait la chasse aux souris (= petit mammifère).
Sens 2 : J'ai beaucoup de mal à utiliser ma souris (= souris d'ordinateur), je n'arrive pas à cliquer rapidement.

Sens 3 : Au restaurant j'ai mangé une délicieuse souris d'agneau (= morceau de viande).
Les dictionnaires donnent le champ sémantique des mots, c'est-à-dire leurs différents sens. Ainsi, certains mots seront définis sur une ligne ; d'autres, qui ont un champ sémantique développé verront leur définition s'étendre sur plusieurs colonnes.


La circonstance

les compléments circonstanciels


Comme leur nom indique, les compléments circonstanciels 

expriment les circonstances de l’action, temps, lieu,

manière, cause, conséquence, but, etc.


Le complément circonstanciel peut être :



peut être : le lieu


  • un groupe nominal, ou un pronom, introduit le plus souvent par les prépositions : àdechezdansenle long deà côté de… : Les élèves jouent dans la cour et sortent de l’école
  • un adverbe : Les enfants jouent dehors.
  • une proposition relative sans antécédent : Va où tu veux.
peut être : le temps

un groupe nominal introduit ou non par une préposition : Les hiboux dorment le jour. Je l’ai vu depuis trois jours.



  Figures de style   
                               fleche droite changement de couleur Hyperbole
L’hyperbole est une figure de style qui consiste à exprimer de façon exagérée une idée ou un sentiment. Elle est souvent utilisée pour produire une forte impression ou pour insister sur un point.
Exemples :

- Ses moindres actions lui semblent des miracles. (Molière)
- Je crois que je pourrais rester dix mille ans sans parler. (Jean-Paul Sartre)
Plusieurs procédés sont utilisés pour produire une hyperbole : la comparaison (irréaliste), la métaphore, l’emploi de mots excessifs, l’emploi abusif de superlatif, etc.
Exemples :
- Ton histoire est vieille comme le monde. (comparaison)
- Sa vie est un enfer. (métaphore)
- C’est un film absolument génialhyperréaliste et complètement délirant. (mots excessifs)
- Elle est convaincue que son fils est plus intelligentplus doué et plus cultivé que tous les jeunes de son âge. (superlatif abusif)
L’hyperbole est très employée dans la publicité, dans le journalisme et dans la langue courante. Son emploi très fréquent, voire abusif, peut amoindrir son effet. C’est ainsi que certaines hyperboles, complètement passées dans l’usage, ne sont plus perçues comme des formules d’exagération.
Exemples :
- Il est fort comme un bœuf. (pour Il est très fort.)
- Je suis mort de fatigue. (pour Je suis très fatigué.)
- Elle est trempée jusqu’aux os. (pour Elle est complètement mouillée.)
fleche droite changement de couleur        La métaphore

La métaphore est une figure de style qui consiste à établir une comparaison entre deux réalités, comparaison qui est fondée sur une analogie que l’on instaure entre les deux référents.
Contrairement à la comparaison proprement dite, la métaphore ne comporte aucun élément grammatical, par exemple commeainsi quetelsemblable à, explicitant le rapport comparatif. La métaphore s’établit entre un terme comparé, celui qui fait l’objet de la comparaison, et un terme comparant, qui sert de point de comparaison. Grammaticalement, le terme comparant peut être en relation d’attribut ou d’apposition par rapport au terme comparé. Les deux noms peuvent aussi former un groupe nominal comportant un complément du nom.
Exemples :
- Cet homme d’affaires est un requin.

- Une mer de manifestants avait envahi la rue.
La métaphore peut également être implicite; le terme comparé est alors absent et sous-entendu. Dans les exemples qui suivent, Hugo compare la lune à une faucille d’or, et Baudelaire, l’enfance à un innocent paradis.


La métaphore: établit une assimilation entre deux termes. Comparé et comparant sont rassemblés dans un énoncé sans que le terme de comparaison soit exprimé. On parle de métaphore filée si elle se développe sur plusieurs termes, au long du texte.
Effet produit: Plus encore que la comparaison, la métaphore visualise de façon poétique une réalité perçue subjectivement

Ex:       "La mer des céréales, roulante, profonde, sans bornes". (Zola, La Terre).



Avec la métaphore de la Beauce ("mer des céréales"), la description atteint une dimension épique. Les frontières de l'espace sont abolies

 la comparaison 
Une comparaison est construite selon un modèle très simple : on rapproche deux choses qui ont un point commun, c’est-à-dire une ressemblance. Ce rapprochement s’effectue à l’aide d’un mot de compa Je me sens comme un poisson dans l’eau.

                  Comparé = je / Comparant = un poisson dans l’eau / Outil de comparaison = comme / Motif = être à son aise, se sentir dans son élément.
 Il ressemble à un oiseau tombé du nid 
                  Comparé = il / comparant = un oiseau tombé du nid / Outil de comparaison = ressemble  / Motif = innocence, surprise, candeur
persuader / convaincre

persuader amener quelqu'un à croire, à penser, à vouloir, à faire quelque chose, en jouant sur sa sensibilité, par voie de séduction.
 argumenter en provoquant des émotions, en s'appuyant sur les sentiments. Il s'agit de faire appel à l'affectif du destinataire, à ses sentiments.

convaincre amener quelqu'un à admettre une façon de penser ou de se conduire en lui exposant les raisons qu'il peut avoir de l'adopter
argumenter par le raisonnement. Il s'agit de faire appel à la logique du destinataire
Mme vingtras......l'enfant ....jules vallès

c'est lui, c'est mon enfant, mon fruit, cette joue est à moi ....
André Gide
Tu dois écrire la lettre à ta grand mère...


                       
             




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                                  Le style indirect

Le style indirect est employé pour rapporter des paroles. Ce rapport nécessite quelques transformations grammaticales.
  Les modifications de temps dans le style indirect, les autres ne changent pas.  

            Le verbe introducteur au passé



Présent =>
imparfait
Il m'a dit: 'je vais bien'.Il m'a dit qu'il allait bien
Futur =>
conditionnel simple
Il m'a dit: 'je téléphonerai'Il m'a dit qu'il téléphonerait
Futur antérieur =>
Conditionnel passé
Il m'a dit:' nous aurons terminé la chambre avant de venir.'Il m'a dit qu'ils auraient terminé la chambre avant de venir.
Passé composé =>
Plus que parfait
Il m'a dit:'J'ai tout vendu'Il m'a dit qu'il avait tout vendu


Les modifications des marqueurs de temps dans le style indirect. En gardant toujours les concordances de temps précédentes. Ces changements sont utiles dans les narrations.
Aujourd'hui =>
Ce jour-là
Lucie pensait :' Je vais faire les courses aujourd'hui'Lucie pensait qu'elle allait faire les courses ce jour-là
Hier =>
La veille
Le commerçant lui a dit: 'J'ai été livré hier'Le commerçant lui a dit qu'il avait été livré la veille.
Demain =>
Le lendemain
Mais il a ajouté : 'votre commande n'arrivera que demain'.Mais il a ajouté que sa commande n'arriverait que le lendemain.
(jour) prochain =>
Le (jour) suivant
Il a terminé par: 'j'espère qu'elle n'arrivera pas que mardi prochain'!Il a terminé en lui disant qu'il espérait qu'elle n'arriverait pas le mardi suivant.



Les modifications des pronoms dans le style indirect en gardant toujours les concordances de temps précédentes. Vous voyez qu'il faut être logique avec la situation.
Il/elle m'a dit : 'Je suis là'Il m'a dit qu' il/elle était là
Il m'a dit : 'Tu viendras aussi!'Il m'a dit que je viendrais aussi.
Il m'a dit: ' Vous viendrez!'Il m'a dit que nous viendrions.
Il m'a dit ' Nous serons là' 'On sera là'!Il m'a dit qu'ils seraient là.




Les modifications des possessifs dans le style indirect en gardant toujours les concordances de temps précédentes. Là aussi, il faut s'adapter à la logique de la situation.
Il m'a dit: ' Je n'ai plus votre livre'.Il m'a dit qu'il n'avait plus mon livre
Il m'a dit: ' Je n'ai plus vos livres'.Il m'a dit qu'il n'avait plus nos/mes  livres
Il m'a dit: ' Je suis dans ma voiture'.Il m'a dit qu'il était dans sa voiture.
Il m'a dit :'Je vais régler votre problème'Il m'a dit qu'il règlerait notre/mon problème
Il m'a dit: Ce pull est à toi'.Il m'a dit que ce pull était le mien.
Il m'a dit: 'Ce chat n'est pas à moi'Il m'a dit que ce chat n'était pas à lui.



Autres modifications :

Est-ce que
=> si s'(avec il)
Je lui ai demandé: 'Est-ce que tu viendras?'Je lui ai demandé s' il viendrait
Qu'est-ce que / que
=> Ce que
Il m'a demandé ' Qu'est-ce que tu fais?'Il m'a demandé ce que je faisais.
Qu'est-ce qui / qui
=> Ce que
Il m'a demandé ' Qui est-ce qui est volontaire'?Il m'a demandé qui était volontaire.
Qu'est-ce qui
 => Ce qui
Il m'a demandé ' Qu'est-ce qui te fait plaisir?'Il m'a demandé ce qui me faisait plaisir.
Les questions inversées =>siIl lui dit; 'Croyez-vous qu'elle viendra?'Il lui a demandé s'il croyait qu'elle viendrait.
Les questions directes ne commençant pas par 'est-ce que'
=> gardent le pronom interrogatif
Il me demande ' Depuis quand dors-tu?'

'Où vas-tu'?
...
Il me demande depuis quand  je dors.

Il me demande où je vais
L'impératif
=> De+ infinitif
Il lui a dit 'Pars!'Il lui a dit de partir.




                fleche droite changement de couleur  Faire des exercices


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Comment féliciter / souhaiter quelque chose à quelqu’un

Félicitations!
Toutes mes félicitations! Tous mes compliements!
Je vous félicite.
Bravo!
Je suis content(e) pour toi.
Chapeau! (exprime aussi l’admiration)

Pour un mariage, des fiançailles:
Tous mes vœux de bonheur!
Tous mes compliments!


S'exprimer avec respect et politesse

Une fille à sa mère:
" S'il te plaît maman, veux-tu m'emmener à la fête? "
- Qui parle à qui? Au sujet de quoi?
Une fille parle à sa mère au sujet de la fête.
- Comment la fille s'adresse-t-elle à sa mère?
 avec politesse.
- Relève l'expression de politesse employée dans cet énoncé.
S'il te plaît

Je retiens

Pour s'adresser avec politesse à un responsable, à un inconnu , à une personne qu'on respecte, on
emploie:
- le "vous" de politesse.
- les titres d'honneur:
Majesté, Votre majesté, quand on parle à un roi.
Atesse, Votre altesse, quand on parle à un prince.
Monsieur le Président, quand on parle au président d'un pays
Excellence, quand on parle à un ambassadeur par exemple.
Votre honneur, quand on parle à un juge.
Maître, quand on parle à un avocat.
Monsieur le doyen
Madame
Monsieur...
Quand on demande à quelqu'un qu'on respecte de faire quelque chose, on emploie des expressions telles que:
Veuillez......, Voudriez-vous........., S'il vous plaît.......

Les pronoms relatifs.

                       I. Qu'est-ce qu'un pronom relatif ?
La fenêtre que je viens d'ouvrir donne sur la cour.
Le garçon qui mange à cette table est notre invité.
La fillette dont je vous parle est la fille de ma sœur.

Qui  - que - dont  sont des pronoms relatifs.  Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et la personne de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom). Cette proposition s'appelle « proposition subordonnée relative ».


III. Les pronoms relatifs invariables.
1. QUI - QUE .
 Examinons :
Le cheval qui se trouve dans cette prairie, appartient à mon oncle.
Le pronom relatif « qui » s'emploie comme sujet, en parlant des personnes, des animaux ou des choses.
L'enfant à qui tu as donné ce livre en est tout heureux.
Qui peut être également complément d'objet indirect. Dans ce cas, il est précédé d'une préposition et ne remplace que des personnes.
La pomme que tu manges vient directement du verger.
Le pronom relatif « que » est complément d'objet direct . Il remplace des personnes, des animaux ou des choses.


DONT.
Examinons :
Voici l'ami dont je vous ai parlé.
Je vous présente mon travail  dont je suis fier.
Le pronom relatif « dont » peut avoir différentes fonctions. Il remplace des personnes, des animaux ou des choses.
Je vis une maison dont les murs tombaient en ruines.
Il peut être complément du nom (les murs de la maison),
Cette jolie table dont je t'ai parlé est à vendre.
ou complément d'objet indirect  (je t'ai parlé de cette jolie table)

.
Examinons :
L'endroit  je me trouve est ombragé.
Le pays  je vis est le plus beau !
Le plus souvent, on emploie le pronom relatif « où » pour remplacer  « lequel précédé d'une préposition ». Ce pronom relatif est toujours complément circonstanciel de lieu ou de temps.



Exercice : Joignez les deux propositions par le pronom relatif adéquat.
Terminez les phrases avec un point final
.

langue et communication - Objectif: se situer localiser dans l'espace
Je retiens
Dans un texte, on peut recourir à différentes expressions pour se situer et situer dans le temps et l'espace des personnes ou les objets dont on parle.
Exemple:
-         dans le temps: Depuis que je vous ai quitté samedi dernier, il y a une semaine aujourd'hui…
-         dans l'espace. Je suis installé à l'hôtel safir, à la chambre 255 au deuxième étages.

Remarque : Certaines expressions peuvent êtres utilisées aussi bien pour la précision des situations dans le temps que dans l'espace.
Exemple. Je réside à un quart d'heure  du centre- ville.
·        Par convention, l'émetteur d'une lettre se situe: les indications du lieu et de la date qui figurent en haut et à droite servent à déterminer le lieu et le moment de l'énonciation.


Je retiens
·        Localiser une personne ou une chose dans l'espace, c'est déterminer sa position par rapport à un ou à des repères spatiaux fixes ou par rapport à une autre personne ou à un objet.
·        la localisation dans l'espace d'une personne ou d'une chose s'effectue, en général, par l'emploi d'adverbes ou de locutions adverbiales de lieu, devant, dernière, en face de, sur , sous, au nord, au sud, à l'est, à l'ouest de , au pied, au sonnet, au bord de, à l'intérieur de, à l'extérieur de, au milieu de, au- dessus de, au dessous de, prés de, loin de, etc.
Des adverbes ou des locutions adverbiales servant à montrer peuvent être également employés, ici, là, là-haut, là- dessus, là bas, là-dessous, etc















                                                 La conjugaison !!!!!

Ces fleurs sont belles.
Il ressemble à son frère.
La petite fille mange une glace.
Les élèves sortent calmement.


Pour désigner un verbe, on utilise son infinitif.
Exemples :
Ces fleurs sont belles.      -> être
Il ressemble à son frère.      -> ressembler
La petite fille mange une glace.      -> manger
Les élèves sortent calmement.      -> sortir

- Quand utiliser l'imparfait de l'indicatif ?
L'imparfait de l'indicatif est un temps du passé. Il est utilisé dans un récit pour décrire une action qui a duré, une action qui s'est répétée, une habitude...
- Comment conjuguer les verbes à l'imparfait de l'indicatif ?
À l'imparfait, tous les verbes se terminent par :
-ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient
Exemples :
AIMER
FINIRPRENDRE
j'aimais
tu aimais
il aimait

nous aimions
vous aimiez
ils aimaient
je finissais
tu finissais
il finissait

nous finissions
vous finissiez
ils finissaient
je prenais
tu prenais
il prenait

nous prenions
vous preniez
ils prenaient

Le futur simple
- Quand utiliser le futur simple de l'indicatif ?
Le futur simple de l'indicatif est un temps du futur. Il s'emploie pour indiquer une action qui ne s'est pas encore déroulée.
- Comment conjuguer les verbes au futur simple de l'indicatif ?
Au futur simple de l'indicatif, les verbes du 1er et du 2ème groupe gardent leur infinitif (sauf les verbes et -yer) et on ajoute les terminaisons : 
-ai, -as, -a , -ons, -ez, -ont
Exemples :
AIMER
FINIR
j'aimerai
tu aimeras
il aimera

nous aimerons
vous aimerez
ils aimeront
je finirai
tu finiras
il finira

nous finirons
vous finirez
ils finiront
...


Le plus-que-parfait
- Quand utiliser le plus-que-parfait de l'indicatif ?
Le plus-que-parfait est un temps du passé. On utilise le plus-que-parfait quand on veut indiquer qu’une action passée s’est déroulée avant une autre action passée.
Exemple :
Nous
étions partisquand vous  êtes arrivés.

plus-que-parfait

passé composé

- Comment conjuguer les verbes au plus-que-parfait de l'indicatif ?
Comme le passé composé, il est formé à l’aide des auxiliaires êtres et avoir, mais à l’imparfait, et du participe passé du verbe conjugué.
Exemples :
j’avais pris (prendre) – nous étions parti(e)s (partir)
Les accords des participes passés avec les auxiliaires se font comme pour le passé composé.



Exemples :
AIMERFINIRSAVOIRVENIR
j'avais aimé
tu avais aimé
il avait aimé

nous avions aimé
vous aviez aimé
ils avaient aimé
j'avais fini
tu avais fini
il avait fini

nous avions fini
vous aviez fini
ils avaient fini
j'avais su
tu avais su
il avait su

nous avions su
vous aviez su
ils avaient su
j'étais venu(e)
tu étais venu(e)
il était venu

nous étions venu(e)s
vous étiez venu(e)s
ils étaient venus

être

avoir
je serais
tu serais
il serait

nous serions
vous seriez
ils seraient

j'aurais
tu aurais
il aurait

nous aurions
vous auriez
ils auraient


être

avoir
j'aurais été
tu aurais été
il aurait été

nous aurions été
vous auriez été
ils auraient été

j'aurais eu
tu aurais eu
il aurait eu

nous aurions eu
vous auriez eu
ils auraient eu




                         Types et genres de textes

Le tableau ci-dessous donne un aperçu des notions importantes qui permettent de reconnaître les différents types de textes ainsi que les genres qui leur sont apparentés.

      
Fonction(s)Types de texteStructuresGenres apparentés
RaconterTexte à dominante narrative- Raconte une intrigue avec des personnages.
- Cadre spatiotemporel.
- Schéma narratif et schéma actantiel.
- Système temporel de narration.
- Narrateur, narration et point de vue narratif.
Conte, roman, nouvelle, mythe, fable, légende, épopée, (auto)biographie romancée, journal intime,
Informer, expliquerTexte à dominante informative ou explicative- Rapporte des faits avec un vocabulaire précis.
- Organisateurs textuels logiques.
- Effort d’objectivité et de neutralité.
- Effacement de l’auteur.
Article de presse, dictionnaire, encyclopédie, (auto)biographie savante, …
DécrireTexte à dominante descriptive- Mention de détails pour mieux représenter.
- Verbes de perception.
- Figures de style (comparaison, métaphore, …).
(Auto)portrait, description
ConvaincreTexte à dominante argumentative- Thèse, arguments et exemples.
- Organisateurs textuels.
- Langage manifestant la volonté de convaincre.
Publicité, dissertation, critique, essai, plaidoyer, réquisitoire, …
Faire agir, enjoindreTexte à dominante injonctive- Mode impératif ou infinitif, s’adresse au lecteur.
- Parfois accompagné de schémas.
- Phrases courtes et ordonnées logiquement.
Mode d’emploi, recette, règlement, consigne, …
Exprimer des sentiments, jouer avec la langueTexte à dominante  poétique- Strophes et vers ou en prose.
- Formes fixes (sonnet, ballade, chanson, …).
- Champs lexicaux.
- Figures de style.
- « De la musique avant toute chose » (Verlaine).
Poème (et ses nombreuses formes possibles), chanson, …
Echanger, rapporter des parolesTexte à dominante dialoguée- Ponctuation du discours (­ : « » – … ).
- Formes de discours (direct, indirect, narré).
- Présence et alternance d’interlocuteurs.
Dialogue (de roman, de film, de théâtre), débat, interview, …

Remarques :

  • Un texte peut à la fois être narratif et informatif (le roman historique, par exemple). Cependant, si la fonction principale du texte est de raconter, on parlera alors de texte à dominante narrative. On parle donc de texte à dominante narrative, informative, argumentative, etc., selon la fonction dominante.
  • Les genres se redéfinissent constamment d’après la production et la tradition d’une époque, suivant les œuvres considérées comme références.
  • Un genre n’est systématiquement relié à un seul type. Par exemple, on peut retrouver du texte dialogué et descriptif dans un roman



                                                        Mots de liaison
Relation logiqueConnecteurs (articulations) logiques / mots de liaison
Addition ou gradation
et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, puis, d’abord, ensuite, enfin, d’une part, d’autre part, non seulement … mais encore, voire, de surcroît, d’ailleurs, avec, en plus de, outre, quant à, ou, outre que, sans compter que …..
Classer
puis, premièrement…, ensuite, d’une part … d’autre part, non seulement … mais encore, avant tout, d’abord …..
Restriction ou opposition
mais, cependant, en revanche, or, toutefois, pourtant, au contraire, néanmoins, malgré, en dépit de, sauf, hormis, excepté, tandis que, pendant que, alors que, tant + adverbe + adjectif + que, tout que, loin que, bien que, quoique, sans que, si … que, quel que + verbe être + non …..
Cause
car, parce que, par, grâce à, en effet, en raison de, du fait que, dans la mesure où, à cause de, faute de, puisque, sous prétexte que, d’autant plus que, comme, étant donné que, vu que, non que …..
Indiquer une conséquence
ainsi, c’est pourquoi que, en conséquence, par suite, de là, dès lors, par conséquent, aussi, de manière à, de façon à, si bien que, de sorte que, tellement que, au point … que, de manière que, de façon que, tant … que, si … que, à tel point que, trop pour que, que, assez pour que …..
Condition ou supposition ou hypothèse
si, peut-être, probablement, sans doute, éventuellement, à condition de, avec, en cas de, pour que, suivant que, selon (+ règle de « si »), à supposer que, à moins que, à condition que, en admettant que, pour peu que, au cas où, dans l’hypothèse où, quand bien même, quand même, pourvu que….
Comparaison ou équivalence ou parallèle
ou, de même, ainsi, également, à la façon de, à l’image de, contrairement à, conformément à, comme, de même que, ainsi que / aussi … que, autant … que, tel … que, plus … que, plutôt … que, moins … que…..
But
pour, dans le but de, afin de, pour que, afin que, de crainte que, de peur que…..
Indiquer une alternative
ou, autrement, sinon, soit … soit, ou … ou…..
Expliciterc’est-à-dire, en effet, en d’autres termes…..
Illustrerpar exemple, c’est ainsi que, comme, c’est le cas de…..
Conclure (utilisé surtout pour la conclusion d’une production écrite)
au total, tout compte fait, tout bien considéré, en somme, en conclusion, finalement, somme toute, en peu de mots, à tout prendre, en définitive, après tout, en dernière analyse, en dernier lieu, à la fin, au terme de l’analyse, au fond, pour conclure, en bref, en guise de conclusion…..
 
 
Mes 5 sens

Un gros nuage jouflu
pour le plaisir de ma vue

Un parfum de lilas
pour le plaisir de mon odorat


Une jolie mélodie
pour le plaisir de mon ouïe


Un ourson peluché
pour le plaisir d'y toucher


Un gâteau chocolaté
pour le plaisir d'y gouter



Merci Louis-Philippe de partager
cette comptine avec nous.
                                                          http://www.coindespetits.com
L’œil est l’organe de la vue.
 

 L’oreille est l’organe de l’ouïe.



La langue est l’organe du goût.



La peau est l’organe du toucher.



Le nez est l’organe de l’ odorat.

  

                                  exercice d'application


onjugaison


Le PRÉSENT du CONDITIONNEL



Le présent du conditionnel est utilisé pour exprimer une éventualité.
On le forme en utilisant le radical du verbe au futur simple auquel on ajoute la terminaison du verbe avoir à l’imparfait.
-ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient

Être
avoir


je serais
j’aurais
tu serais
tu aurais
il serait
il aurait


nous serions
nous aurions
vous seriez
vous auriez
ils seraient
ils auraient

aimer
finir


j’aimerais
je finirais
tu aimerais
tu finirais
il aimerait
il finirait


nous aimerions
nous finirions
vous aimeriez
vous finiriez
ils aimeraient
ils finiraient

prendre
partir


je prendrais
je partirais
tu prendrais
tu partirais
elle prendrait
elle partirait


nous prendrions
nous partirions
vous prendriez
vous partiriez
ils prendraient
ils partiraient








Le FUTUR ANTÉRIEUR



Le futur antérieur est un temps composé de l’indicatif.
Il se forme avec les auxiliaires être et avoir au futur simple et le participe passé des verbes conjugués.

Être
avoir


j’aurai été
j’aurai eu
tu auras été
tu auras eu
il aura été
il aura eu


nous aurons été
nous aurons eu
vous aurez été
vous aurez eu
ils auront été
ils auront eu

aimer
finir


j’aurai aimé
j’aurai fini
tu auras aimé
tu auras fini
il aura aimé
il aura fini


nous aurons aimé
nous aurons fini
vous aurez aimé
vous aurez fini
ils auront aimé
ils auront fini

Les accords des participes passés avec les auxiliaires se font comme pour le passé composé.

prendre
partir


j’aurai pris
je serai parti(e)
tu auras pris
tu seras parti(e)
elle aura pris
elle sera partie


nous aurons pris
nous serons parti(e)s
vous aurez pris
vous serez parti(e)s
ils auront pris
ils seront partis






Le PASSÉ ANTÉRIEUR



Le passé antérieur est un temps peu fréquent. On le rencontre généralement en littérature.
Il se forme avec les auxiliaires être et avoir au passé simple et le participe passé des verbes conjugués.

Être
avoir


j’eus été
j’eus eu
tu eus été
tu eus eu
il eut été
il eut eu


nous eûmes été
nous eûmes eu
vous eûtes été
vous eûtes eu
ils eurent été
ils eurent eu

aimer
finir


j’eus aimé
j’eus fini
tu eus aimé
tu eus fini
il eut aimé
il eut fini


nous eûmes aimé
nous eûmes fini
vous eûtes aimé
vous eûtes fini
ils eurent aimé
ils eurent fini

Les accords des participes passés avec les auxiliaires se font comme pour le passé composé.

prendre
partir


j’eus pris
je fus parti(e)
tu eus pris
tu fus parti(e)
elle eut pris
elle fut partie


nous eûmes pris
nous fûmes parti(e)s
vous eûtes pris
vous fûtes parti(e)s
ils eurent pris
ils furent partis




L’IMPÉRATIF



L’impératif est utilisé pour exprimer un ordre ou une interdiction.
Il ne se conjugue qu’à 3 personnes : 2ème personne du singulier, 1ère et 2ème personnes du pluriel.
Le sujet n’est pas exprimé.

Le présent

Être
avoir
aimer



sois
aie
aime



soyons
ayons
aimons
soyez
ayez
aimez


finir
prendre
partir



finis
prends
pars



finissons
prenez
partez
finissez
prenons
partons

Le passé

Être
avoir
aimer



aie été
aie eu
aie aimé



ayons été
ayons eu
ayons aimé
ayez été
ayez eu
ayez aimé


finir
prendre
partir



aie fini
aie pris
sois parti(e)



ayons fini
ayons pris
soyons parti(e)s
ayez fini
ayez pris
soyez parti(e)s





Le PRÉSENT du CONDITIONNEL



Le présent du conditionnel est utilisé pour exprimer une éventualité.
On le forme en utilisant le radical du verbe au futur simple auquel on ajoute la terminaison du verbe avoir à l’imparfait.
-ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient

Être
avoir


je serais
j’aurais
tu serais
tu aurais
il serait
il aurait


nous serions
nous aurions
vous seriez
vous auriez
ils seraient
ils auraient

aimer
finir


j’aimerais
je finirais
tu aimerais
tu finirais
il aimerait
il finirait


nous aimerions
nous finirions
vous aimeriez
vous finiriez
ils aimeraient
ils finiraient

prendre
partir


je prendrais
je partirais
tu prendrais
tu partirais
elle prendrait
elle partirait


nous prendrions
nous partirions
vous prendriez
vous partiriez
ils prendraient
ils partiraient








 La complétive par que


   la complétive infinitive


                        I Complétive par que
Il viendra. Je le sais.
→ Je sais qu'il viendra.

Tu réussiras. Je le souhaite.
→ Je souhaite que tu réussisses.


Je retiens
- La complétive par que complète le verbe.

- Verbes introduisant une complétive à l'indicatif:

dire, croire, penser, savoir, être sûr, affirmer,
annoncer, promettre, constater...

- Verbes introduisant une complétive au subjonctif:

souhaiter, désirer, vouloir, douter, regretter, craindre,
demander, être heureux,ne pas penser, il faut,
il est nécessaire...

II Complétive infinitive
Je suis capable de réussir. Je le crois.
→ Je crois être capable de réussir.
Il obtiendra un emploi. Il le souhaite.
→ Il souhaite obtenir un emploi.

Je retiens
La complétive est infinitive quand les deux sujets sont
identiques et désignent la même personne.


                               

                             Exercices

a) Transforme ces phrases de façon à obtenir une complétive
     par que.

- Vous partirez. Je le veux.
- Tu passeras de bonnes vacances à la campagne. Je le pense.
- Tu viendras toujours à l'heure. Je l'exige.
- On m'a volé. Je le crois.

b) Relie ces phrases de façon à obtenir une complétive
    infinitive.

- Elle se rendra à la mecque. Elle le pense.
- Revenez à la maison. Votre père vous l'ordonne.
- Les ouvriers seront augmentés. Ils l'espèrent.
- Mon frère achètera une belle voiture. Il le croit.


c) Ecris les verbes (...) au mode et aux temps qui conviennent.
- J'espère que tu (avoir) le temps de passer chez ta tante.
- Il est possible qu'il (pleuvoir).
- La radio annonce qu'un dangereux criminel (être) arrêté.
- Je ne crois pas qu'il (venir).
- C'est dommage que tu (partir) tout de suite.
- Je suis sûr que tu (être) heureuse.

Réponse:  v.http://dfrancais.voila.net/completive.html



               Comment exprimer l’accord / le désaccord

L’accord total:
Exactement.
(C’est) exact.
Effectivement.
Bien sûr.
Bien entendu.
Je suis d’accord.
C’est incontestable / vrai / exact.
Je suis heureux de vous l’entendre dire.
Sans aucun doute.
Vous avez (tout à fait) raison.
Je suis tout à fait de votre avis.
Absolument.
Ça, c’est vrai.
Et comment!
C’est sûr / certain!
Je te l’avais dit!
L’accord faible:Sûrement.
C’est (bien) possible.
Peut-être (bien).
Si vous voulez.
Sans doute.
En principe.
Admettons.
Je veux bien.
On peut dire ça.
Ça se peut.
Si tu le dis.
Pourquoi pas!
Oui, mais …
Le désaccord total:(Non …) c’est faux.
(Non …) ce n’est pas vrai.
(Non …) je ne suis pas d’accord!
(Non …) absolument pas!
(Non …) pas du tout.
(Non …) en aucun cas.
Vous vous moquez de moi!
Tu plaisantes!
Tu rigoles!
Tu te fiches de moi?
Ça (ne) va pas, non?
Je ne suis absolument pas de votre avis.
Sûr que non.
Tu te (fiches, fous) du monde / de moi.
Tu parles?
Ça, alors!


La complétive infinitive

La complétive infinitive est toujours en position de complément d'objet direct. Son verbe, par définition, est un infinitif.
Dans les constructions du type "Pierre réussir à son examen, cela m'étonnerait", on admettra que l'infinitive est en apposition au sujet "cela".
Souvenez-vous que la présence d'un sujet propre est une condition indispensable pour constituer une proposition infinitive. Il ne faut pas confondre un infinitif complément d'objet direct avec l'infinitif, base d'une proposition :
Il espère réussir. Un seul sujet, une seule proposition
J'entends les oiseaux chanter. Deux sujets, deux propositions
Le sujet de l' infinitif doit être un mot autre que le sujet du verbe principal.
On trouve régulièrement des complétives infinitives après les verbes de sensation : "sentir, écouter, voir, entendre, percevoir...".
Le sujet de l'infinitive est souvent inversé (On entendit mugir la sirène). Lorsque le sujet est un pronom personnel ou interrogatif, il se trouve même avant le verbe qui gouverne l'infinitive (Je les entends chanter dans le jardin).
Le sujet de l'infinitive est souvent omis (J'entends jouer de la musique = j'entends "quelqu'un" jouer de la musique).


Complétive par que


Il viendra. Je le sais.
→ Je sais qu'il viendra.
Tu réussiras. Je le souhaite.
→ Je souhaite que tu réussisses.


Je retiens
- La complétive par que complète le verbe.
- Verbes introduisant une complétive à l'indicatif:
dire, croire, penser, savoir, être sûr, affirmer,
annoncer, promettre, constater...
- Verbes introduisant une complétive au subjonctif:
souhaiter, désirer, vouloir, douter, regretter, craindre,
demander, être heureux,ne pas penser, il faut,
il est nécessaire...

II Complétive infinitive
Je suis capable de réussir. Je le crois.
→ Je crois être capable de réussir.
Il obtiendra un emploi. Il le souhaite.
→ Il souhaite obtenir un emploi.

Je retiens
La complétive est infinitive quand les deux sujets sont
identiques et désignent la même personne.


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Exercices
ecole 128





a) Transforme ces phrases de façon à obtenir une complétive
     par que.
- Vous partirez. Je le veux.
- Tu passeras de bonnes vacances à la campagne. Je le pense.
- Tu viendras toujours à l'heure. Je l'exige.
- On m'a volé. Je le crois.

b) Relie ces phrases de façon à obtenir une complétive
    infinitive.
- Elle se rendra à la mecque. Elle le pense.
- Revenez à la maison. Votre père vous l'ordonne.
- Les ouvriers seront augmentés. Ils l'espèrent.
- Mon frère achètera une belle voiture. Il le croit.

c) Ecris les verbes (...) au mode et aux temps qui conviennent.
- J'espère que tu (avoir) le temps de passer chez ta tante.
- Il est possible qu'il (pleuvoir).
- La radio annonce qu'un dangereux criminel (être) arrêté.
- Je ne crois pas qu'il (venir).
- C'est dommage que tu (partir) tout de suite.
- Je suis sûr que tu (être) heureuse.



ecole 31ecole 120 




Correction
a)
- Je veux que vous partiez.
- Je pense que tu passeras de bonnes vacances à la campagne.
- J'exige que tu viennes toujours à l'heure.
- Je crois qu'on m'a volé.

b)
- Elle pense se rendre à la mecque.
- Votre père vous ordonne de revenir à la maison.
- Les ouvriers espèrent être augmentés.
- Mon frère croit acheter une belle voiture.

c)
- J'espère que tu auras le temps de passer chez ta tante.
- Il est possible qu'il pleuve.
- La radio annonce qu'un dangereux criminel a été arrêté.
- Je ne crois pas qu'il vienne.
- C'est dommage que tu partes tout de suite.
- Je suis sûr que tu seras heureuse.

Il existe en français une gradation descendante entre trois principaux registres de langue :
  1. Registre soutenu : J'ignore ce qu'il est advenu.
  2. Registre courant : Je ne sais pas ce qui s'est passé.
  3. Registre familier : J'sais pas c'qu'y a eu.
Le registre soutenu est surtout employé à l’écrit, notamment dans la lettre officielle et dans le texte littéraire. Le vocabulaire est recherché et les règles prescrites par la grammaire normative sont parfaitement respectées.
Le registre courant est employé avec un interlocuteur que l’on ne connait pas intimement, avec lequel on a une certaine distance. Le vocabulaire est usuel et les règles prescrites par la grammaire normative sont habituellement respectées.
Le registre familier est employé avec des proches, des intimes. Le vocabulaire est relâché, il peut être abrégé. Toutes les syllabes ne sont pas nécessairement prononcées. Les règles de la grammaire normative ne sont pas systématiquement respectées.

Les niveaux de langue (ou registres de langue)

NIVEAU FAMILIER
NIVEAU COURANT
NIVEAU SOUTENU
Type de lexique
Vocabulaire de la vie quotidienne, termes familiers, parfois argotiques. Le registre familier est celui d’une parole spontanée (modèle oral) ; il dépend par ailleurs de la connaissance de la langue du locuteur.Vocabulaire usuel, absence de termes recherchés ou spécialisés.Vocabulaire riche, recherché, voire rare. Le registre soutenu n’est pas spontané (modèle écrit).
Syntaxe
Ruptures de constructions, répétitions, ellipses, suppression du ne discordantiel dans la négation.Les règles de la grammaire sont respectées, utilisation des temps simples de l’indicatif,passé composé, plus-que-parfait, subjonctif présent.Les règles sont respectées, les constructions sont complexes et la concordance des temps est respectée.
Figures de style
Hyperbolespériphrases, expressions toutes faites.Ton neutre, effets de style limités.Figures de style, recherches d’effets.
Que peut révéler ce registre de langue ?
Milieu populaire, l’interlocuteur est un ami ou de la famille, jeu sur le langage.Échange neutre, dans des circonstances quotidiennes.Milieu socioculturel élevé, déférence, politesse du locuteur.
Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/niveaux-de-langage.php#ixzz2Whj5xqZx


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